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Une synergie des cultures partagées

 

 

Une identité citoyenne

L’élaboration d’un projet d’entreprise, qui plus est d’un média de proximité, suppose un ancrage qui émane d’une culture. Ancré au coeur de territoires qui ont façonné son identité, le projet de création d’un bi-média régional ; soutenu par l’association La Marseillaise en commun, entend se rattacher aux valeurs concourant au respect des droits humains et à celles qui font de la liberté de la presse un principe fondamental des systèmes démocratiques, tel que le définit l’Art.11 de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789.

Le projet présenté ici émane de journalistes et de salariés expérimentés, attachés à leur indépendance et aux valeurs déontologiques de la Charte de Munich.

En effet, associés à des membres de la société civile, les journalistes fondateurs sont conscients qu’un changement de pratique dans leurs modes de fonctionnement et de gouvernance est actuellement plus que nécessaire.

Le référentiel des valeurs partagées par les salariés porteurs de ce projet alternatif entend rompre avec les logiques d’appareils politiques.

Cette innovation de rupture ambitionne d’appréhender le champ politique à partir d’un modèle nouveau, en examinant la façon dont s’exercent les responsabilités politiques sur les territoires de notre zone de diffusion, et en quoi elles correspondent aux valeurs auxquelles les partis politiques se réfèrent.

Les journalistes à l’initiative du projet ne renoncent pas pour autant à la pratique d’un journalisme engagé et progressiste.

Les valeurs de ce futur journal restent profondément progressistes et humanistes. Elles soulignent la lutte contre l’injustice sociale, militent pour la Liberté, l’Egalité, la Fraternité. Le journal a l’ambition de faire vivre le droit à l’information pour tous.

Les journalistes entendent appliquer et faire vivre leur projet éditorial à travers des réflexions et propositions renouvelées.

Le renforcement de l’audience et le rayonnement d’un titre de presse par un rapprochement et une interaction avec les lecteurs. Ils seront guidés par une approche générationnelle et sectorielle, ainsi que la mise en œuvre de partenariats et d’événements.

Le rétablissement de la confiance suppose que l’on revienne à un discours de vérité qui nomme les difficultés telles qu’elles sont pour bâtir un projet réaliste.

Un des problèmes de nos sociétés demeure le manque de capacité à s’impliquer directement dans la vie et donc aussi à s’informer. Pour sortir de cette “paralysie”, chacun doit pouvoir s’investir à son niveau. Le changement sera progressif, il sera lié à l’investissement de chacun et ouvert à tous.

Ce média trouvera sa place dans le paysage inter-régional, parce que le grand public n’attend pas que du divertissement… Il reste en attente d’analyses, d’informations de terrain, d’échos de la vie quotidienne, de nouvelles qui font la cité et la citoyenneté.

 

S’inscrire dans les nouvelles pratiques informationnelles

Le projet intègre l’analyse des relations entre, d’une part, les modèles économiques de production et de consommation de l’information en ligne et, d’autre part, le pluralisme et la qualité de l’information dans un contexte où les plateformes numériques s’accaparent un pouvoir exorbitant.

Le bi média en construction entend adapter l’entreprise à la croissance continue du web en veillant à l’impact et aux conséquences économiques de la révolution numérique.

Il souhaite s’adjoindre la collaboration d’acteurs de la nouvelle économie. Il s’agit d’établir un modèle mixte web/papier, gratuit et payant, cohérent, adapté à la ligne éditoriale et à la dynamique participative initiée par le projet.

Ces grands axes concernent aussi bien le contenu que l’organisation structurelle de l’entreprise, qui sera imaginée de manière plus horizontale, et sur un mode de gestion participatif, inspiré de  l’Économie Sociale et Solidaire (ESS).

 

L’Information au cœur de l’Économie Sociale et Solidaire

Le lien entre pouvoir médiatique et pouvoir politique n’a jamais été aussi fort qu’en ce début de 21ème siècle. Et jamais la confiance des citoyens dans les journalistes (les médias en général) et les hommes politiques ne semble avoir été aussi faible. Le changement s’impose donc pour tous au nom de la cohésion sociale.

Placer un média régional au service des citoyens, réaffirmer la nécessité d’un lien par l’information et le débat, entre les représentants politiques et les différents acteurs du territoire, peut pleinement se concevoir dans le cadre de l’Économie sociale Solidaire.

Nous entendons faire reposer notre projet collectif sur les valeurs de l’ESS,  la branche de l’économie qui concilie l’activité économique et l’équité sociale.

Inscrire ce type de média dans le cadre de l’Économie Sociale et Solidaire, c’est lancer le défi d’intensifier et à défaut de créer, le débat d’idées et  faire croître la capacité de renouvellement à travers une démarche interdisciplinaire.

C’est aussi participer à l’activation des leviers solidaires et démocratiques reposant sur des valeurs et des principes communs : utilité sociale, ancrage local adapté aux spécificités de nos territoires et de leurs habitants, pour une économie de solidarité respectueuse de l’homme et de son environnement.

Pour s’approprier largement ce projet, les personnes concernées doivent pouvoir prendre part à son élaboration.

Avec La Marseillaise en commun nous concevons un processus culturellement significatif faisant appel à la créativité, dans l’objectif de nourrir le projet commun. La priorité donnée au projet plutôt qu’au profit de court terme concourt à une démarche offrant de réelles perspectives.

 

Le projet avant le business plan

Le financement du projet va se constituer à partir du capital social et non à partir d’investisseurs financiers proposant une reprise clé en main.

La SCIC (société coopérative d’intérêt collectif)  prévoit dans ses statuts un multi-sociétariat de trois collèges : salariés, usagers, partenaire.

La SCIC s’activera à la recherche de partenariats et étudiera toute offre d’éventuels partenaires ou actionnaires issus de la profession ou pas, mais compatibles avec son objet social.

 

Cette idée neuve est la nôtre, il importe désormais de la faire vivre

C’est dans cet esprit constructif que nous nous adressons à vous, afin que vous souteniez notre initiative, la seule, selon nous, capable d’offrir un avenir, et permettre l’intervention citoyenne en lui proposant des espaces de production.

En signant la pétition ou en adhérant à l’association

 

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