Quelles que soient nos « recettes miracle », la boîte à outils virtuelle à notre disposition (remplie de tournevis, marteaux et autres quincailleries éducatives), l’écran n’est qu’un simulacre de contact humain.
Nous sommes le lundi 6 avril, et, une fois n’est pas coutume, je mets une petite image humoristique sur Pronote. Mon objectif du jour : faire décrocher à mes élèves une expression du visage caractérisée par un relèvement des coins de la bouche, exprimant la bonne humeur et l’amusement.
Connaissez-vous le Pronotavirus ? Ce virus qui attaque les cellules nerveuses de ceux qui, actuellement, sont censés défendre la sacrosainte continuité pédagogique ?
Miroir de la société, en première ligne face aux nouveaux défis d'une société malade, les enseignants ont très moyennement goûté aux déclarations de la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye. Ceux qui "ne travaillent pas" lui collent un zéro pointé.
Si cette année scolaire qui s’achève a été marquée par autant de mouvements, d’enseignants du primaire comme du secondaire, c’est bien peut-être parce tout ne va pas pour le mieux dans le meilleur des mondes éducatif. Avec la réforme Blanquer, chaque lycéen-ne, dès l’âge de 15-16 ans, deviendra l’auto-entrepreneur de son parcours.
La difficulté du sujet du Dnb (diplôme national du brevet ) de métropole 2019 en maths a été éclipsée par le désastre ministériel sur le Bac. Mais les consignes de correction vont allumer une nouvelle polémique...
Explications de textes sur la loi Blanquer avec deux enseignant-e-s de Martigues (Bouches-du-Rhône), à l’heure où la contestation monte un peu partout dans le pays. Ce n’est pas la première fois que les syndicats d’enseignants ont maille à partir avec leurs ministres de tutelle sauf qu’aujourd’hui cela semble pire encore avec la loi Blanquer, pour laquelle les enseignants ont enfin brisé le silence des médias dominants.