En phase avec ses valeurs, la Mutuelle des motard vient de lancer une plateforme solidaire qui permet de partager, d’échanger et de relayer (sans aucun but commercial), des initiatives et actions solidaires initiées par le monde motard.
Un mois après les premiers cas déclarés, la Grèce est beaucoup moins touchée que d’autres pays européens. Dès le départ, l'objectif du gouvernement était de gagner du temps en prenant ces mesures afin de freiner l’augmentation soudaine des cas de coronavirus et éviter l'écroulement éventuel du système de santé affaibli par une décennie de crise, mais aussi empêcher une propagation incontrôlable dans les camps surpeuplés de migrants. Le gouvernement n’a pas montré la même détermination quant aux mesures strictes concernant la fermeture des églises avant de s'y résoudre.
A l’initiative de la French Tech Toulouse, quinze startups toulousaines ont décidé de se mobiliser contre le coronavirus en offrant gratuitement leurs services aux professionnels et particuliers toulousains. Elles proposent des solutions pour mieux faire face à cette situation exceptionnelle et gérer les effets de l’épidémie du Covid-19. Passage en revue des propositions adaptées à cette période si particulière.
Il y a eu la mobilisation contre la réforme des retraites et le retour des syndicats, les élections municipales où le système des partis est revenu en force, et l'état d'urgence sanitaire détourné par le gouvernement en action martiale. Ces conjonctions de coordination ont relayé le mouvement des Gilets jaunes aux oubliettes. En cette période charnière où les orientations politiques inquiétantes pour notre démocratie dessinent le cadre de vie des prochaines décennies, il n'est pas déplacé de relayer aujourd'hui l'expression des Gilets jaunes que beaucoup ont décidé de faire taire.
Lors de leur visioconférence, le 26 mars, les chefs d'Etat et de gouvernement des 27 Etats de l'UE ont remis à plus tard la décision quant à l'émission d'obligations communes pour lutter contre les conséquences économiques de la crise du coronavirus. Tandis que l'Italie et l'Espagne réclament des "corona bonds", l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Autriche, notamment, s'y opposent. Comment sortir de l'impasse ?
La Hongrie va-t-elle devenir un pays autoritaire ? C’est la crainte en tout cas de beaucoup d’ONG et d’associations car ce lundi 30 mars, le Parlement s’apprête à voter une loi qui, au motif de combattre le coronavirus, accorde au gouvernement dirigé par Viktor Orban des pouvoirs sans limite.
Le président du département d'Indre-et-Loire et trois présidents des départements limitrophes viennent d'écrire au ministre de la santé. Ils sont prêts à mobiliser leur laboratoire vétérinaire pour effectuer 1.000 tests Covid-19 par jour. L'Etat refuse.
La Fédération de l’Hérault du Secours populaire maintient ses actions de solidarité pour venir en aide aux plus démunis pendant le confinement inédit que traverse la France pour tenter d’enrayer l’épidémie du coronavirus. Selon l’INSEE, le département comptait en 2011, 19 % de ses habitants vivant sous le seuil de pauvreté, soit près de 200 000 personnes. Aujourd’hui on le sait, « Se nourrir c’est se protéger. Si les personnes en difficulté n’arrivent plus à se nourrir convenablement, leur système immunitaire va diminuer. »
Lundi 23 mars, Renaud Muselier, Président de Régions de France a participé à la conférence téléphonique avec les acteurs économiques nationaux organisée par le ministre de l’Economie et des Finances, puis réuni ses collègues en Conseil des Régions, également en audio-conférence.
Le Conseil des ministres du mercredi 25 mars a adopté 25 ordonnances. Il s'agit d'un record "historique" depuis 1958, comme l'a souligné le premier ministre en énumérant les dispositions qui doivent "protéger les citoyens et limiter les dommages sociaux et économiques". Un "signe que l'urgence dicte sa loi", a encore observé le chef du gouvernement.
Le Parlement a adopté définitivement, dimanche, le projet de loi permettant l'instauration d'un "état d'urgence sanitaire". Encadrant la restriction des libertés publiques, cette "loi d'exception" est instaurée pour deux mois. Cette disposition ouvre "un champ infini de dérogation à l'état de droit" s'inquiète l'opposition.
Plus les jours passent et plus la situation sanitaire dans notre pays et, au-delà, est préoccupante. L'employeur est tenu à une obligation de sécurité et de protection de la santé envers ses salariés. Il apparait selon la CGT que les dispositions prises par les employeurs sont très variables et ne correspondent pas toujours à la teneur des propos tenus lundi 16 mars par le Président de la République. Pour aider les élus et mandatés des CSE et entreprises, et les salariés, nous publions ci-dessous différentes notes permettant de vous documenter et de faire valoir vos droits.